Le syndrome dysphorique prémenstruel n’est pas facile à vivre.
Affectant jusqu’à 8% des femmes, lorsque les symptômes sont sévères, il paraît qu’il invalide carrément.
Vous en souffrez ?
Syndrome dysphorique prémenstruel : Comment y faire face ?
Voici quelques astuces pour soulager un syndrome dysphorique prémenstruel.
Syndrome dysphorique prémenstruel : Les symptômes
Une femme ne souffre pas de syndrome dysphorique tous les mois.
Ça arrive soudainement, occasionnellement, parfois de manière supportable et souvent, d’une grande intensité.
Comment le reconnaître ?
Vous devrez avoir au moins 5 des symptômes ci-dessous :
- La dépression
- L’angoisse, l’anxiété
- Les troubles de l’humeur (irritabilité, hypersensibilité…)
- Les troubles de l’attention et la concentration
- L’asthénie, la fatigue
- Les troubles du comportement alimentaire
- Les troubles du sommeil
- La tension mammaire et articulaire
Le tout s’accompagne généralement de migraines prémenstruelles insupportables.
Syndrome dysphorique prémenstruel : Les bons gestes
La première chose à faire : Adopter une mode de vie saine et équilibrée.
Ce qui implique des modifications au niveau des menus. Moins gras, moins sucrés et exit les fringales !
Les études ont démontré que les fumeuses étaient plus nombreuses à souffrir du syndrome prémenstruel.
Pour faire disparaître les symptômes, une diminution du nombre de clope fumée par jour est conseillée.
Par ailleurs, il faut également prévoir quelques activités physiques.
Syndrome dysphorique prémenstruel : Le traitement
Les spécialistes peuvent prescrire des médicaments pour soulager les symptômes : antidépresseurs, anxiolytiques, hormonothérapie…
Mais il faut admettre que leurs effets sont temporaires. Et il peut y avoir des effets indésirables aussi !
Aussi, avant d’opter pour la médication, essayez des méthodes plus naturelles mais diablement efficaces.
On sait déjà que le syndrome dysphorique prémenstruel est favorisé par le stress.
Quelques exercices et techniques de relaxation devrait donc vous aider à vous relaxer !
Par ailleurs, la thérapie cognitivo-comportementale peut aussi être d’une grande aide.
A découvrir justement : « Thérapie cognitivo-comportementale : Le tour en 3 questions… ».
Marin © freedigitalphotos.net
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